Pour tous :

Il s'agit d'une aide artistique permettant d'être à l'aise avec son corps pour commencer à « écouter son âme ». C'est un outils qui favorise l'extériorisation d'une tension émotionnelle, la libération d'une tension physique (fréquemment due au stress) ou mieux encore, qui favorise l'expression de la cause d'une tension plus profonde pour que celle-ci commence à s'apaiser...

Pour les danseurs:

C'est un outil permettant d'affiner et d'approfondir en subtilité son propre répertoire de danseur, quelque soit le style, en apprenant à écouter la qualité de ses différents systèmes énergétiques pour les mettre au service d'un travail de création.

Tout en prenant soin du corps pour le mener à bien le plus longtemps et le mieux possible, cet outil enrichit la gestuelle du danseur. Car lorsque celui-ci expérimente ses ressentis en les mettant en mouvement, il améliore sa faculté de traduire corporellement les états émotionnels qui en découlent. Pour un artiste, travailler en étroite relation consciente avec son Ki

( souffle vital, énergie en japonais) est une source d’inspiration générée par la qualité vital qui le définit.

​

Cette subtile prise de conscience du corps permet également au danseur d’être plus à l’écoute du moment présent et d’en profiter, ce qui le rend par extension, plus disponible lors d’un travail en corrélation avec un chorégraphe.

​

Partant du principe énoncé dans la MTC que nous avons tous un déséquilibre énergétique chronique, j’ai comme objectif à travers la Ki-Danse, d’aider les danseurs à ce qu’ils le trouvent, pour qu’il devienne un atout à leur pratique. Ainsi leur langage dansé s’élargit...

​

Mais Ki-Danse ?

C’est l’énergie vitale personnelle « qui » danse, mais aussi celle de l’Univers qui nous traverse, nous compose, et qui fait aussi qu’on est Soi.

Ce Ki anime, fait vivant, fait soignant, fait dansant !

Ce Ki impulse ? L’amour peut-être, Ki sait... Car Ki est sensible, physique, psychique, spirituel. Ki sait .

Mais Ki peut stagner, se bloquer, se braquer et malmener pour se faire entendre : il peut s’effondrer, se nouer, se dissoudre...

Alors, avant que Ki se coince, commençons par l’écouter, l’observer pour le guider à travers une expression corporelle libératrice.